Utilités :

• Avoir le mode d’emploi des cahiers, propre (exemple 1)
• Gagner du temps sur l’écriture des pages de garde : déjà, prénom, nom, école, année, c’est parfois (très) long pour certains !
• Fournir d’un coup ces pages de garde aux nouveaux élèves en cours d’année

Choix des cahiers : par type de travail plutôt que par matière :

• un cahier du jour : on s’applique, on suit des règles de présentation, une feuille de route permettant de proposer des défis sera proposée (exemple 2),
• un cahier d’entrainement : qui permet de s’entrainer sans faire corriger, sans avoir d’autre règle de présentation que de ne pas sauter de page dans le cahier, qui n’a pas l’appellation de cahier de brouillon afin de donner à l’entrainement, l’essai-erreur une vraie place,
• un cahier de travail personnel : qui permet à chacun d’avancer à son rythme selon un plan de travail (exemple 3),
• un cahier d’écrivain : qui permet de donner à l’écriture de texte une place de choix, un texte étant alors un aboutissement d’un travail, que l’on peut présenter et publier (dans le blog, un journal, un livre selon les projets de classe),
• un cahier culturel : qui permet de donner d’englober toutes les disciplines : histoire, géographie, sciences, arts, littérature, langues vivantes, dans un domaine d’apprentissage plus vaste, avec l’objectif de se cultiver. Dans un classeur, dans le cahier d’entrainement, on peut faire les recherches, les exercices, dans le cahier culturel, on peut écrire, coller les traces écrites, la finalité, ce qu’on retient de tout cela. On peut imaginer des petits carnets à y coller, de littérature, des chants de l’année. Un cahier dont on prend soin, avec une feuille de route pour donner une place de choix aux présentations orales culturelles (exemple 4).